Rose-Croix.org

  • Home
  • Présentation
  • Devenir membre
  • Enseignement
  • Philosophie
  • Histoire
  • Agenda
  • Textes
    • Revues
  • Vidéos
    • Podcasts
  • URCI
  • Autres sites
  • Espace membres

Transcendance et immanence du mantra

Classé sous :Arts, URCI -

« Comme toute forme de pensée religieuse l’hindouisme s’oppose à l’idée de hasard, et ne peut  accepter que la création soit le fruit d’une quelconque indétermination. Le Brahman  « s’extériorise » sous la forme du monde, il s’extériorise en tant que Parole, et l’esprit comme  la matière ne sont finalement que des aspects de cette Parole. Le pratyaya est le moyen par  lequel la conscience divine fait rentrer en elle les résultantes des relations entre les éléments  qui en sont issus, en un mécanisme cosmique d’auto-connaissance mais aussi de révolution  continue des effets et des causes. L’ensemble se présente donc comme un système organisé. 

Cette mécanique créatrice à un but, nous l’avons dit, c’est la réintégration ou la réabsorption  dans son Créateur. L’homme, en tant que microcosme, est également issu de la Parole et est  appelé à rejoindre le niveau le plus élevé de celle-ci, à savoir celui de Shabdabrahman. Pour  cela, il dispose d’un instrument qui est Parole lui-aussi : le mantra. Là encore, nous nous  trouvons en face d’un système organisé : depuis les débuts de l’époque védique jusqu’à nos  jours, le mantra apparaît en tant que structure, et même en tant que structure complexe. 

Objet d’équivalence possédant un pouvoir de liaison, pont entre deux mondes, faculté de  réintégration à caractère vocal, et système universel d’adhésion à l’acte créateur, le mantra  s’avère à la fois réalité d’essence divine et instrument propre à faire pénétrer l’homme dans  le langage créateur divin. On peut alors l’envisager sous l’aspect de sa transcendance et sous  celui de son immanence. C’est assez dire qu’il s’agit d’une démarche mystique majeure. 

En sa qualité d’aspect sonore de la divinité le mantra est d’abord transcendance. Lorsque  nous disons « sonore » nous parlons évidemment de shabda, et non pas d’une quelconque  forme audible, même si cette forme existe tout en bas de la hiérarchie des émanations.  D’autre part nous avons vu que le sphota est porteur de l’artha, et que l’artha c’est le sens  mais c’est aussi l’objet. En d’autres termes le mantra qui véhicule le sphota véhicule donc  l’objet du processus de pratyaya, et par application du principe d’équivalence l’objet divinisé  par son appréhension devient accessible au mantra et à celui qui l’énonce. 

Le mantra relie, car le son – qui se propage en cercles concentriques – possède le pouvoir  d’appréhender simultanément plusieurs objets de création, de susciter des équivalences, ou  de provoquer des mutations. Ceci peut aller jusqu’à des transformations matérielles. Rien ne  se crée, rien ne se perd… Mais le mantra ne peut rien détruire, de même qu’habituellement  il ne peut rien construire (42). La logique d’équivalence propre aux mantrashâstra, et qui  constitue ni plus ni moins qu’une alchimie pure et simple (si ce dernier mot peut trouver sa  place dans ce livre), restitue au processus son sens concret, apportant à la relation entre le  Verbe et Dieu la dimension qui manque au dhikr comme à l’hésychasme : celle de l’identité. 

Donc, pour la tradition, les mantras ne relèvent pas d’un quelconque assemblage fantaisiste  de phonèmes, mais constituent formellement des « mots de puissance » dotés d’un pouvoir  effectif en vertu de la loi d’équivalence. C’est la divinité elle-même qui existe à travers le  mantra, or comme la divinité existe à travers toute la création, c’est l’univers entier qui – en  tant que mantra – glorifie son Créateur. Ceci explique la phrase de John Woodroffe placée en  épigraphe à ce livre : « un Mantra est le Monde perçu comme son et sous son aspect de son« . 

Dans cette perspective on peut aller jusqu’à dire que la divinité « se développe » à travers le  mantra, comme l’écho de la voix proférée se multiplie dans la montagne, ou comme la  conscience se développe à travers la complexification de l’évolution. Mais en substance la  divinité et le mantra sont bien identiques ; s’il y a développement, ou extension, il y a alors  co-extension de la divinité et du mantra. Le mantra est considéré comme hypostase. Cette  idée se trouve bien évidemment en contradiction avec les dogmes chrétiens, qui la rejettent  en la taxant « d’onomatothéisme ». Il n’est pas dans notre propos d’entrer dans ce débat, mais  le Christ n’a-t-il pas lui-même évoqué cette relation du nom et de la présence effective de  celui qui est nommé (43). 

Dieu crée en se récitant lui-même à travers la création, « nom intégral » dont l’énoncé rejoint  toujours sa cause en embrassant ses effets, car Shabdabrahman est bien la cause du monde.  En ce sens le mantra est sans limite, en-dehors de l’expérience humaine, donc proprement  transcendant. Il n’y a pas de triangle sans sommet et, comme l’indiquait le schéma du  chapitre III, section 1, l’unité (sommet du triangle supérieur) est préalable à la disjonction.  Or c’est cette unité qui, au fond est transcendante. 

Mais en revanche il existe un second triangle, une zone de manifestation, ou d’expérience  comme on voudra, qui est notre monde des phénomènes et le domaine de l’action humaine.  C’est une deuxième dimension du mantra, qui est ouverte à l’immanence. 

Comme tout objet de la création, l’homme est constitué des émanations de Shabdabrahman,  donc de Dieu en tant que Parole, ce qui fait de cette Parole la cause immanente de l’homme.  Nous avons vu, d’autre part, que le processus de réintégration dans la divinité se trouve pour  ainsi dire inscrit dans le destin de l’humanité, et que les tattva – cet « ordonnancement des  essences » – tirent l’homme vers le haut en un processus de résorption. Le mantra, en sa  qualité d’instrument de salut, est placé en l’être humain à la fois comme garantie et comme  moyen de remonter l’échelle afin d’atteindre au but suprême (44). Et puisque le mantra est  une participation de Dieu, c’est Dieu lui-même qui est immanent à l’être humain. Dieu réside  en lui à travers le mantra révélé. 

Ce dernier est donc – et demeure – intérieur à l’homme. Son immanence n’est en rien remise en  cause par le fait qu’il se transmette au moyen de l’initiation, ce qui pourrait constituer une  objection, car c’est bien la même participation qui se transmet depuis l’origine sans que  l’homme puisse y changer quoi que ce soit, s’agissant d’une pulsion de sa conscience profonde. 

En effet l’initiation révèle et met en oeuvre, elle ne crée pas de l’extérieur. Le mantra comme  son action restent à l’intérieur de la conscience de celui qui l’énonce et lui donne vie. De  même que celui qui profère la parole dans la montagne découvre sa propre parole par l’écho  ou la réflexion de celle-ci, c’est le pratiquant qui fait vivre le mantra et renvoie à Dieu, au  bout du compte, sa propre image au moyen de la parole. 

L’énergie insufflée dans le mantra est aussi insufflée dans l’homme par le Créateur, dans un  mouvement identique ou une adéquation permettant au projet divin de s’accomplir. Il existe  une pré-programmation pour l’expression, tout comme nous disions (chapitre IV, section 1)  qu’il existait une pré-programmation pour la perception. Le besoin d’exprimer le sphota est  inhérent à la conscience, tout comme l’est la capacité d’en saisir instantanément la réalité par  le processus de pratibhâ.

On comprend mieux alors l’immanence du mantra, lequel apparaît  à la fois comme conscience, énergie, et Verbe.  On comprend mieux également la démarche supérieure des rishi védiques, ces premiers  « découvreurs » des mantras : ils ont su opérer la jonction de la transcendance et de  l’immanence, et à travers eux l’on comprend que la transcendance est immanente à l’homme.  Ceci peut d’ailleurs être rapproché de la Genèse, qui relate l’intimité d’Adam avec Dieu,  autrement dit le rapport de l’immanence avec la transcendance. Nous avons vu qu’Adam  possédait le pouvoir de nommer, ce qui constituait une prérogative d’origine divine, mais il  faut noter également la proximité de l’homme et de la nature, évidente dans le paradis  terrestre (Gen. I, 27 à 30, et II, 8 à 20). En effet, si Dieu nomma les éléments de la création  (Gen. I, 5 à 10), il permit aussi à l’homme d’user de cette faculté (Gen. II, 19, 20), ce qui  impliquait une relation très étroite d’une part entre le Créateur, l’homme, et la nature, d’autre  part entre l’objet nommé et le nom lui-même. 

Depuis que les parfums du jardin d’Eden se sont estompés, il est très difficile à l’homme de  comprendre ces relations et ces « noms substantiels », pourtant l’on pressent dans ces textes  ce que furent les origines et les conditions premières du langage. L’éloignement et  l’incompréhension de ces origines et de ces conditions font qu’aujourd’hui l’on ne considère  plus guère les traditions de la Parole que comme de la basse magie. L’homme moderne a  souvent perdu le sens de la transcendance, et ne s’interroge à propos de l’immanence que  lorsqu’il tourne son regard vers l’intérieur de lui-même. Le mantra relie ces deux termes. 

La substance verbale participe de la substance divine par émanation, et de la conscience  humaine par émergence. Elle connaît donc un double mouvement, descendant et  ascendant, une double relation à son objet qu’est l’homme, par conséquent une double  dimension, transcendante et immanente. Sans ce va-et-vient cosmique, le projet créateur  initial n’aurait pas pu prospérer, le mantra demeurerait inintelligible et sa cause non-efficiente. 

La cause se transforme-t-elle dans son effet ? Oui et non. Car si la conscience créatrice, en  tant que Shabdabrahman, est parfaite, éternelle, immuable, les consciences dérivées que  sont les personnalités créées et incarnées sont-elles perfectibles, évoluant sans cesse dans  le grand mouvement de convergence qui amènera le retour dans le sein de la conscience  suprême. Or ces consciences sont elles-mêmes Brahman, puisque rien ne saurait se situer  en-dehors de lui. Dans ce sens on peut considérer que – s’il n’y a pas à proprement parler  retour de l’effet sur sa cause – il existe tout de même une transitivité dans l’acte créateur visà-  vis des effets destinés à retourner à leur cause ! C’est dans cette transitivité, expression de  la volonté divine, que se situe la fonction du mantra. 

C’est un peu comme si, par amour pour ses créatures, Shabdabrahman s’était projeté dans la  Parole et leur avait transmise celle-ci – par l’intermédiaire des rishi – telle une corde jetée à  travers l’abîme cosmique et permettant à l’être incarné de rejoindre son Créateur. Cette  faculté d’ascension est une constante des mantras de la grande tradition, et l’on parle  d’ailleurs souvent de « sentir le mantra monter en soi », de « l’ascension » ou de la « surrection »  d’un mantra. Cette ascension doit aller jusqu’à l’identification avec la divinité, et la  transcendance monte alors, immanente, des profondeurs de l’homme… 

L’union à Dieu : c’est le suprême pouvoir du mantra. Nous verrons, dans la quatrième partie  de ce livre, que les mantras sont supposés posséder de nombreux « pouvoirs » sur le plan  terrestre, mais ceux-ci – réels ou imaginaires – restent secondaires par rapport au grand  dessein. La fusion en Dieu ou en l’ultime transcendance, si elle constitue plutôt une  démarche individuelle dans le cadre de l’hindouisme, semble avoir été une affaire collective  aux débuts de l’époque védique (45), et l’être redevenue – dans un cadre philosophique  différent – avec le bouddhisme Mahâyâna et l’engagement des bodhisattva (46). Il faudrait  alors substituer au mot « ascension » celui de « convergence ». 

Cette nécessité de l’évolution explique que le transcendant soit devenu en partie immanent.  C’est de cette façon, et de cette façon seulement, que l’esprit et la matière rejoindront leur  état initial, ou état de Parashabda, de même que l’homme, complexe d’esprit et de matière,  le premier transcendant la seconde à laquelle il est pourtant immanent depuis leur séparation  originelle. Mais si transcendance et immanence se rejoignent dans le mantra, comme elles  se rejoignent dans l’homme, c’est le mantra qui s’offre à l’homme comme un divin présent.  Il appartient alors à l’homme de s’ouvrir au mantra. 

Essence divine, le mantra rejoint le domaine existentiel et les limites que celui-ci impose,  mais cette limitation est paradoxalement indispensable à son extension, de même qu’à la  libération de l’homme puisque le mantra possède un pouvoir salvateur, qu’il s’enracine dans  les plus anciennes traditions mystiques de l’humanité, et qu’il perpétue le principe de la  création, avec son corollaire : il est permis à l’homme d’exercer un pouvoir divin dans la  mesure où l’homme rejoint le principe divin. 

Nous voici à présent parvenus au terme de notre approche purement théorique. Elle était  certes très sommaire, mais le lecteur intéressé pourra combler son appétit en consultant des  ouvrages plus particulièrement consacrés à la philosophie indienne. La bibliographie placée  à la fin de ce livre lui donne déjà matière à étudier, mais on pourrait l’étendre, elle aussi, tant  ce domaine de la pensée est vaste et multiple. En effet, comme on peut le constater, la  linguistique, la métaphysique, et la sotériologie, s’enchevêtrent pour former l’humus  composite de notre sujet. Ceci peut paraître baroque, déroutant, extravagant même, et  pourtant c’est de cette façon que se présente, dans toute sa complexité, mais aussi dans toute  son authenticité, le concept général du mantra. »

Extrait du livre « L’univers des mantras », par Thierry Guinot – Diffusion Rosicrucienne

SUR LE MEME SUJET :

Le symbolisme de Pelléas et Mélisande Le pouvoir mystique du chant La musique et la vie La musique, un outil de développement spirituel (vidéo)

Brochure d’information

DEVENIR MEMBRE

Newsletter


Les champs suivis d'une * sont obligatoires

Les derniers articles

Blog Rose-Croix | À propos de l’amitié

À propos de l'amitié « À moins de souffrir d’une maladie mentale ou d’un … [Lire la suite...]

L'Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix

L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix

L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, connu dans le monde sous le sigle … [Lire la suite...]

Rose-Quoi ? : Qu’est-ce que l’Université Rose-Croix Internationale (URCI) ?

Dans ce nouvel épisode de la série « Rose-Quoi ? », découvrez l’Université … [Lire la suite...]

La Rose-Croix : une philosophie pratique pour s’initier aux mystères de l’existence

Aujourd’hui nos modes de vie changent, et avec eux, notre manière de vivre la … [Lire la suite...]

Revue Rose-Croix 2025

… [Lire la suite...]

Visiter les sites officiels de l’A.M.O.R.C.

  • capture-site-omt-slider-amorc2
    Ordre Martiniste Traditionnel
  • Capture-site-blog-slider-amorc
    Blog du Grand Maître
  • Capture-facebook-amorc2
    Page Facebook A.M.O.R.C.
  • Page Instagram Rose-Croix A.M.O.R.C
    Instagram
  • Chaîne Viméo A.M.O.R.C.
    Chaîne Viméo A.M.O.R.C.
  • Capture-calameo
    Site Calaméo A.M.O.R.C.
  • Capture-ami-2019-amorc
    Site des amis de l'A.M.O.R.C.

Frédéric Lenoir


Dans cet entretien Frédéric Lenoir évoque l’histoire et la philosophie des Rose-Croix. A travers un bref interview, Serge Toussaint y présente l’A.M.O.R.C., mouvement dont il est le Grand Maître actuel.

Devenir membre

Vidéos réservées aux membres

Le symbolisme des couleurs : le jaune (vidéo réservée aux membres)

… [Lire la suite...]

Le symbolisme des couleurs : le rouge (vidéo réservée aux membres)

… [Lire la suite...]

L’arbre et son symbolisme (vidéo réservée aux membres)

… [Lire la suite...]

L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix

L’Ancien et Mystique Ordre de la Rose-Croix, connu dans le monde sous le sigle A.M.O.R.C., est un mouvement philosophique, initiatique et traditionnel. Non religieux et apolitique, il est ouvert aux hommes comme aux femmes, sans distinction de race, de nationalité, de classe sociale ou de religion. Reconnu d’utilité publique dans plusieurs pays en raison de sa contribution à la culture, à l’éducation et à la paix, il a pour devise : « La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance. »

> En savoir plus sur l'A.M.O.R.C.

Nous contacter

Sur ce site

  • Présentation
  • Notre histoire
  • Notre enseignement
  • Notre philosophie
  • Agenda
  • Revues
  • Textes rosicruciens
  • Vidéos
  • Liens

Contact

  • Contact

Membres

  • - Payer sa cotisation
  • - Pages réservées aux membres
  • - Site des études rosicruciennes

Newsletter


Les champs suivis d'une * sont obligatoires

Infos

– Dossier de presse

– Mentions légales

– Politique de confidentialité

L’A.M.O.R.C. dans le Monde

> Les Grandes Loges de l'A.M.O.R.C. dans le monde
  • Facebook
  • Instagram
  • Vimeo
  • YouTube

Brochure d’information

Brochure de présentation sur l'Ordre de la Rose-Croix

brochure-rose-croix-amorc

> Télécharger ce document

Copyright © 2025 - Ordre de la Rose-Croix A.M.O.R.C. -

Gérer le consentement aux cookies
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou la personne utilisant le service.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
Voir les préférences
{title} {title} {title}